Clarins vient de lancer un programme de Neu CP (ex-billets de trésorerie), plafonné à 200 millions d’euros. Si de plus en plus d’entreprises ont recours à ces titres de créances négociables d’une maturité maximale d’un an, le groupe de cosmétiques est en revanche le premier à faire appel à une des nouvelles agences de notation habilitées depuis 2016 à noter ce type d’instrument en plus des quatre historiques (Fitch, Moody’s, S&P et DBRS). Spread Research a ainsi évalué le programme «SR1», soit la deuxième note la plus élevée.