A la recherche de rendements dans un environnement de taux bas, voire négatifs, les investisseurs obligataires prennent davantage de risques. Selon S&P Global Ratings, la part des entreprises qu’elle note B-, c’est-à-dire dans le bas de la catégorie high yield, vient d’atteindre un plafond historique aux Etats-Unis (20,5 % des émetteurs high yield) et son plus haut niveau en Europe depuis 2000 (autour de 12,5 %). Une situation qui n’est pas sans danger pour les créanciers, avertit l’agence, cette catégorie d’emprunteurs étant la plus fortement exposée aux dégradations de notations et, surtout, aux défauts de paiement en cas de retournement conjoncturel.
High yield
Les émetteurs à risque en nombre sur le marché obligataire
Dernière vidéo AOF
Mi-séance du 24 avril 2024 - Hausse continue des marchés européens, Kering déçoit
L'info financière en continu
Chargement en cours...
Les dernières Lettres Professionnelles
CMS Francis Lefebvre
Acquérir une entreprise en devenir
PWC SOCIÉTÉ D'AVOCATS
Pilier 2 : une réalité mondiale… encore en construction
CMS Francis Lefebvre