Le mouvement n’est certes pas nouveau, mais il se poursuit. Selon Moody’s, la part des émetteurs corporate les moins bien notés (B2 et B3, équivalent de B et B-) est aujourd’hui montée à 50 % du total de notations délivrées par l’agence en Europe, contre 25 % il y a dix ans et 35 % fin 2016. Dans ce contexte, Moody’s s’attend à ce que le prochain retournement de cycle économique dans la zone euro provoque une vague de dégradation de ratings et de défauts.
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