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Investissement responsable, avec AXA IM

Transition énergétique : opportunités d'investissement en faveur du climat

Publié le 30 octobre 2020 à 15h28    Mis à jour le 6 novembre 2020 à 14h19

Proposé par AXA IM

Les années 2016 à 2020 pourraient constituer la période la plus chaude jamais enregistrée. L’étau du changement climatique continue de se resserrer. Afin de respecter l'Accord de Paris de 2015 – qui prévoit de limiter le réchauffement climatique à un niveau nettement inférieur à 2 °C, nous devons réduire considérablement les émissions de gaz à effet de serre et inciter le secteur mondial de l’énergie à abandonner les combustibles fossiles au profit d'alternatives renouvelables plus écologiques. AXA IM participe activement aux efforts permettant une telle transition. Retrouvez les explications de nos experts de l’investissement durable.

Cette décennie de transition démarre dans un contexte que nul n’avait anticipé – ni souhaité. .En 2020, le monde est sous le choc de la COVID-19, une pandémie qui a gravement frappé l'économie mondiale et menace les moyens de subsistance de nombreux acteurs.

Dévastées par le coronavirus et le confinement mondial, les économies des États-Unis et de la zone euro ont affiché entre le début avril et la fin juin les pires scores trimestriels jamais enregistrés, tandis que la propagation du virus se poursuit. Cependant, alors que l'industrie a été mise à l’arrêt et que les avions sont restés cloués au sol, l'environnement a trouvé un second souffle.

Préparé par les Nations unies (ONU) et d'autres institutions internationales, le rapport « United in Science » a montré que le confinement de nombreuses régions du monde avait entraîné en avril une chute des taux d'émission de gaz à effet de serre quotidiens de 17 % par rapport au mois d’avril 2019. Toutefois, les niveaux ont de nouveau augmenté depuis la levée partielle des mesures de confinement et se situaient en juin à peine 5 % en deçà de ceux de l'an passé. Pour l'ensemble de l'année 2020, la baisse des émissions de gaz à effet de serre devrait être comprise entre 4 % et 7 %.1

L’étude souligne toutefois que les années 2016 à 2020 pourraient constituer la période de cinq ans la plus chaude jamais enregistrée, alors que l’étau du changement climatique continue de se resserrer.

D’un point de vue environnemental, le récent recul des émissions est indéniablement positif. Cependant, comme l'a souligné António Guterres, secrétaire général des Nations unies : « Il n'a jamais été aussi clair que nous avons besoin de transitions propres, inclusives et de long terme pour affronter la crise climatique et mettre en œuvre un développement durable. Nous devons appréhender la reprise qui suivra la pandémie comme une véritable opportunité de construire un avenir meilleur. »

Afin de respecter l'Accord de Paris de 2015 – qui prévoit de limiter le réchauffement climatique à un niveau nettement inférieur à 2 °C – et de viser une hausse limitée à 1,5 °C, nous devons réduire considérablement les émissions de gaz à effet de serre et inciter le secteur mondial de l’énergie à abandonner les combustibles fossiles au profit d'alternatives renouvelables plus écologiques.

AXA IM participe activement aux efforts permettant une telle transition : nous nous sommes déjà engagés à mettre fin à tous les investissements dans l’industrie du charbon au sein de l’OCDE d’ici à la fin de cette décennie, et dans le reste du monde d’ici à 2040. Mais nous savons qu'il faudra faire plus.

Malgré les nombreux défis auxquels le monde est confronté, une « reprise verte » est possible. L'action des responsables politiques va dans le bon sens, de nombreux gouvernements ont annoncé des initiatives de réhabilitation respectueuses du climat – même la Chine, le plus grand émetteur de dioxyde de carbone au monde, s'est engagée à atteindre la neutralité carbone d'ici 2060. 

Au vu de la situation actuelle, Chris Iggo, CIO d'AXA IM pour les investissements « core », estime que la pandémie a fortement accentué l'attention portée au changement climatique et aux questions environnementales, sociales et de gouvernance (ESG). Pour l'avenir, il considère que les investisseurs sont très susceptibles de récompenser les entreprises qui s’efforcent de rendre leurs activités plus durables.

Il l’explique ainsi : « La transition vers une économie bas carbone a un impact immédiat sur la stratégie des entreprises. Elle les contraint à divulguer leurs émissions de carbone, à adopter des objectifs conformes à l'Accord de Paris et à utiliser la tarification du carbone comme un outil reflétant leur modèle économique. La capacité à prouver que l’épidémie de COVID-19 a accéléré la transition carbone sera essentielle dans les échanges entre dirigeants d'entreprises et investisseurs.  

« La récession engendrée par la COVID-19 pourrait susciter une hausse des impôts, susceptible d’accorder un rôle accru aux taxes carbone pour faire évoluer la demande, des activités à forte intensité de carbone vers des solutions alternatives. Toutefois, atteindre les objectifs de l'Accord de Paris nécessitera des investissements beaucoup plus importants dans les énergies alternatives, le captage du carbone et l'efficacité carbonique. Les stratégies d’investissement fondées sur les obligations vertes ou l'intégration ESG, les stratégies d’impact et celles qui visent spécifiquement la réduction des émissions de carbone seront autant d'éléments essentiels dans les contributions des investisseurs. »

Gilles Moëc, Chef économiste du groupe AXA et Directeur de le Recherche d’AXA IM, ajoute : « Les autorités publiques – tout du moins en Europe – en sont venues à considérer le soutien à la transition verte comme un moyen de stimuler la croissance économique, s’opposant ainsi au cliché d’une supposée incohérence entre les deux objectifs. Dans de nombreux pays clés de l'Union européenne où l'opinion publique est traditionnellement hostile à l'activisme budgétaire, les préoccupations environnementales sont désormais prioritaires. 

« Afin que la croissance économique et la transition verte aillent de pair, il nous semble judicieux de renoncer aux traditionnelles combinaisons d’impôts et de subventions à la production pour privilégier les politiques associant projets d'investissement et taxe carbone. »

Quatre experts ESG d'AXA IM évaluent ci-après l’impact de la crise sur le rythme de la transition énergétique, et analysent les conséquences en matière d’investissement.

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AXA Investment Managers (AXA IM) est un gestionnaire d’actifs de premier plan proposant une gamme d’opportunités d’investissement diversifiée dans les classes d’actifs traditionnelles et alternatives. Avec nos produits, nous cherchons à diversifier et à faire fructifier nos portefeuilles, tout en offrant à nos clients de la valeur et des performances d’investissement sur le long terme.

AXA IM gère environ 844 milliards d’euros d’actifs, dont 480 milliards d’euros intégrant des critères ESG, durables ou à impact, à fin décembre 2023. Nous nous sommes engagés à atteindre l’objectif de zéro émission de gaz à effet de serre d’ici 2050 pour l’ensemble des actifs éligibles, ainsi qu’à intégrer les considérations ESG dans nos activités, de la sélection des titres à nos actions et notre culture d’entreprise.

A fin décembre 2023, AXA IM emploie plus de 2 700 collaborateurs répartis dans 23 bureaux et 18 pays. AXA IM fait partie du Groupe AXA, un leader mondial de l’assurance et de la gestion d’actifs.

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