La baisse généralisée des monnaies dans les pays émergents (hors Chine, Russie et pays de l’OPEP dont les situations sont plus spécifiques), à l’œuvre depuis le second semestre 2012, contribue à une très forte hausse du risque de change, estime dans une note récente Patrick Artus, chef économiste de Natixis. Cette situation critique pour les investisseurs et exportateurs internationaux s’explique pour diverses raisons : la stagnation de l’industrie manufacturière dans ces pays ; la persistance de leurs déficits extérieurs et la fuite massive des capitaux suite à l’arrêt du quantitative easing aux Etats-Unis. Ces éléments poussent le risque de change à des sommets et à la nécessité de le couvrir, conclut Natixis.
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