L’existence d’une analyse du risque-crédit produite par une tierce partie se traduirait, pour les entreprises, par de meilleures conditions d’emprunt auprès des banques. Selon un document de travail publié par la Banque de France, la présence d’une cotation externe inciterait d’abord ces dernières à octroyer plus facilement un crédit, dopant par là même leur production annuelle de prêts de l’ordre de 1,2 % du total des actifs au bilan des établissements. En outre, le coût des financements obtenus aurait tendance à être minoré de 15 points de base en moyenne.
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