Les investisseurs se mettent en ordre de marche pour pouvoir utiliser plus largement la gestion factorielle, souligne Invesco dans une étude que le gestionnaire américain a commandée au cabinet de conseil NMG et pour laquelle 300 acteurs (institutionnels, banques privées, multigérants, conseillers financiers) ont été interrogés. L’obstacle le plus souvent cité au déploiement de ces stratégies, à savoir les compétences internes des investisseurs, s’est fortement allégé ces deux dernières années, selon l’étude. Dès lors, 64 % des investisseurs institutionnels interrogés assurent vouloir augmenter leur allocation dans les stratégies smart beta et dans les gestions quantitatives actives. Parmi les facteurs privilégiés par les investisseurs, ceux qui se réfèrent aux styles de gestion, et en particulier les styles «valeur» et «faible volatilité», se détachent.