1 200 milliards d’euros : tel est le montant de prêts non performants détenus par les banques européennes, d’après KPMG. En raison des intérêts non payés par les débiteurs, des provisions comptables à passer et des pertes subies, ces actifs douteux participent à la baisse de la rentabilité des établissements, tombée à 5 % en moyenne pour les grands groupes. Une situation d’autant plus préoccupante que, selon le cabinet, la résorption de ce stock de crédits devrait prendre «des décennies» compte tenu de l’environnement de faible croissance.
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