Alors qu’Ubisoft est confronté à la montée de Vivendi à son capital, l’éditeur de jeux vidéo a émis, à une semaine de son assemblée générale, des Oceane. Une opération qui ne semble pas être une «pilule empoisonnée». D’abord, le montant de l’opération, 400 millions d’euros (dilution maximale de 6,5 %), ne renchérirait que légèrement une OPA. Surtout, le choix des obligations convertibles était le plus attractif pour financer les besoins du groupe. Déjà connu sur ce marché, Ubisoft a obtenu un coupon de 0 % et une prime d’émission de 60 %, soit le niveau le plus élevé depuis le début de l’année.
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