Si elle n’a duré que quelques minutes, la chute brutale («flash crash») de 9 % de la livre sterling le 7 octobre dernier a ravivé la crainte d’une forte dévaluation de la monnaie britannique. Depuis l’annonce du Brexit, la devise a perdu près de 18 % de sa valeur face au dollar, et s’établissait en fin de semaine dernière aux alentours de 1,21 dollar. Mais cet affaiblissement devrait toutefois avoir un impact limité sur la balance des paiements du Royaume-Uni. «Ce pays bénéficie du fait que 43 % de ses actifs sont libellés en monnaies étrangères alors que c’est le cas de seulement 26 % de ses dettes, a expliqué la semaine dernière Laurence Boone, chef économiste chez Axa. La revalorisation des premiers permet ainsi de compenser l’augmentation de la valeur des secondes, entraînées par la dépréciation de la livre sterling.»
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