La Fed n’est pas la seule banque centrale dont la politique d’assouplissement pourrait être moins ambitieuse qu’anticipé cette année. La Banque d’Angleterre est également confrontée à une inflation plus persistante que prévu. Si cette dernière a ralenti à 3,2 % en mars en rythme annuel après 3,4 % en février, elle était attendue à 3,1 %. La progression des prix a même atteint 6 % pour les seuls services. La perspective que le nombre de baisses des taux de la Banque d’Angleterre soit plus faible qu’envisagé n’a eu que peu d’impact sur la devise : elle s’est effritée de 0,2 % à 1,1681 livre pour un euro la semaine dernière.