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Parole d'expert

«Notre modèle de multigestion capitalise sur notre longue expérience du non-coté»

Publié le 9 septembre 2016 à 11h47    Mis à jour le 9 septembre 2016 à 15h27

Communiqué

Jérôme Delmas, directeur général de SWEN Capital Partners (à gauche) et Jean Philippe Richaud, directeur général adjoint de SWEN Capital Partners nous éclairent sur les nouveaux atouts de la multigestion.

Quels sont aujourd’hui les enjeux d’une multigestion moderne ?

Jean-Philippe Richaud : Depuis sa création dans les années 1990 et pendant près d’une décennie, la multigestion a consisté essentiellement à sélectionner les bons fonds et à assurer une diversification tant en France qu’à l’international. Aujourd’hui, tout l’enjeu de notre métier repose sur notre capacité à analyser et détecter des opportunités en secondaire et en co‑investissement aux côtés des gérants sélectionnés. Par ailleurs, pendant longtemps la multigestion a été perçue comme un coût supplémentaire pour le souscripteur qui nuisait à la perception du service rendu. Aujourd’hui, chez SWEN Capital Partners, nous avons intégré cette problématique dans la structuration même de nos produits et sommes en mesure d’apporter une offre de services plus compétitive.

Comment SWEN Capital Partners parvient-il à atteindre ces objectifs ?

Jérôme Delmas : Grâce à la structuration de nos produits et à des process rigoureux, l’offre de SWEN Capital Partners atteint des niveaux de performance et de rendement comparables à ceux des meilleurs fonds directs en infrastructure, avec un niveau de risque inférieur grâce à la diversification géographique et sectorielle de nos fonds. Nos deux premiers fonds en infrastructure ont chacun enregistré une performance nette supérieure à 10 % au 30 juin 2016. De plus, la structure financière de nos fonds est attractive dans la mesure où les frais de gestion sont basés sur l’actif net ou sur les capitaux investis et non pas sur les engagements. Par ailleurs, nous délivrons de nombreux services complémentaires. Nous avons...

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