Pour son retour sur le marché obligataire, Kering a profité de modalités de financement attractives. Le groupe a en effet levé 500 millions d’euros sur 7 ans, avec un coupon de 0,875 %. Pour autant, le léger regain de volatilité sur les marchés, lié notamment aux négociations sur la dette grecque, s’est traduit par une relative dégradation des conditions réclamées par les investisseurs. Alors que le spread obtenu par de nombreux émetteurs européens avait tendance depuis le début de l’année à s’établir en-dessous de la fourchette initialement fixée, celui de Kering s’est inscrit en bas de fourchette (60 points de base). En outre, la prime de nouvelle émission, qui avait tendance à être comprise entre 0 et 5 pb récemment, s’est élevée à 12 pb.
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