En 2022, 95 % des sociétés du CAC 40 ont intégré au moins un objectif climatique ou environnemental dans la rémunération variable annuelle de leur directeur général, contre 87 % en 2021, selon l’Ifa et Ethics & Boards. 64 % d’entre elles ont chiffré cet objectif quand il s’agissait de la rémunération variable à long terme et 56 % pour la part variable annuelle (de court terme). Les objectifs de réduction des émissions de gaz à effet de serre sont ceux les plus utilisés par les sociétés du CAC•40, devant les indicateurs sur la biodiversité et le recyclage.
Toutefois, le poids des critères relatifs au climat au sein des schémas de rémunération variable reste faible, avec une moyenne de 10 % pour la rémunération variable de long terme et de 6 % pour la part variable annuelle.