A deux semaines de la publication des résultats des tests de résistance menés par la BCE sur les principaux établissements européens, les analystes se montrent confiants quant au fait que les banques françaises surmonteront facilement ces épreuves. «Aucune mauvaise surprise n’est à attendre», a ainsi signalé Patrick Artus, chef économiste de Natixis, lors d’une conférence. Comme le rappelle la société d’informations financières américaine SNL Financial, le niveau actuel de fonds propres des établissements hexagonaux – auxquels vient s’ajouter le travail d’optimisation des bilans effectué l’année dernière – rend la probabilité d’un échec lors des stress tests extrêmement faible. En effet, l’exercice prévoit, dans un scénario de crise prononcée, que les établissements doivent afficher un niveau de capitaux propres d’au moins 5,5 %. Or celui des grandes banques françaises atteignait plus de 11 % fin 2013.
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