Selon une étude menée par la société de conseil immobilier JLL auprès d’une quarantaine de grandes entreprises en Europe, 82 % des entreprises acquéreuses estiment, à l’issue d’une opération de fusion-acquisition, que l’immobilier a été porteur de risques. Certaines directions ne réalisent qu’après la clôture de l’opération que l’immobilier de la société acquise est surévalué ou que d’importantes dépenses doivent être réalisées pour mettre les bâtiments aux normes. «L’intégration de la dimension immobilière en amont peut permettre de négocier la valeur de rachat ou même d’envisager de changer de cible», relève Flore Pradère-Saulnier, responsable recherche entreprises chez JLL. Pourtant, un quart des entreprises interrogées n’avaient pas consulté leur département immobilier avant l’annonce du rachat.
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