Avec la forte diminution des taux d’intérêt ces dernières années, le taux d’intérêt en matière fiscale – actuellement 4,8 % l’an – ne correspondait plus à la réalité du marché. D’aucuns pouvaient y voir un placement avantageux (en cas de réclamation), d’autres une lourde charge additionnelle (en cas de rectification par l’administration).Aussi, le second projet de loi de finances rectificative pour 2017 prévoit de diviser par deux ce taux, prévu à l’article 1727 du CGI, pour les intérêts courant à compter du 1er janvier 2018. Le taux des intérêts courus avant cette date ne serait pas modifié.
Intérêts de retard en matière fiscale
Une baisse qui n’est pas sans intérêt
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